lundi 15 novembre 2010

Crysis 2

Lorsque l'on évoque les FPS les plus attendus au cours de ces prochains mois, il paraît difficile de passer à côté de Crysis 2. La nouvelle production confectionnée par les Allemands de Crytek suscite en effet beaucoup d'espoir, en particulier chez les joueurs avides d'expériences visuelles saisissantes. Mais Crysis 2 demeure bien plus qu'une simple vitrine technologique. Le jeu s'avère en effet riche en contenu, avec en plus d'une campagne solo prometteuse, plusieurs modes multijoueurs engageants. C'est à ces derniers que nous avons pu goûter récemment. Impressions !

Pour ceux qui n’auraient pas suivi l’actualité de Crysis 2, ce jeu vous plonge au cœur d’un New York dévasté suite à l’invasion d’une race inconnue d’aliens. A vous de débarrasser la Terre de ces vilains envahisseurs. Pour ce faire, vous serez notamment équipé de la nanosuit 2.0, une combinaison vous conférant d’énormes pouvoirs. Si le mode solo constitue bien évidemment le cœur du titre, dans le cahier des charges du bon FPS des années 2000 figure tout de même en haut de la liste, la présence d'un aspect multijoueur soigné. En toute logique, le dernier bébé de chez Crytek ne pouvait donc pas y échapper. Crysis 2 se verra ainsi doté de six modes de jeu multi différents dont deux seulement nous ont été présentés. Et autant le préciser de suite, l'innovation n'était pas à l'ordre du jour. Le premier d'entre eux prenait la forme d'un Team Deathmatch très classique alors que le second nous demandait de sécuriser des Pods lâchés par des vaisseaux survolant la map. Une sorte de mode Capture The Flag remanié. Dans les deux cas, le joueur aura le choix entre deux factions, les Marines ou les C.E.L.L. Mais quel que soit le camp, le gameplay s'en trouvera inchangé.
Les rumeurs les plus folles circulaient concernant la date de sortie et le prix de lancement de la 3DS. Cette fameuse console portable a en effet de quoi faire des envieux en proposant un effet 3D sans pour autant nécessiter le port de lunettes. On attendait avec impatience la conférence de Nintendo qui devait se tenir aujourd'hui même pour en savoir un peu plus sur ce petit bijou. Les informations sont effectivement tombées mais elles ne concernent pour l'instant que le territoire japonais : la 3DS y sera disponible dès le 26 février prochain au prix de 25 000 yens, c'est-à-dire approximativement 220 euros. La date de sortie de la console en Occident n'a pas encore été précisée, Nintendo évoque pour l'instant le mois de mars 2011 sans pour autant donner de détails quant au prix auquel elle nous sera proposée. Notez aussi que la 3DS sera disponible en deux coloris au moment de son lancement au Japon, Aqua Blue et Cosmo Black, et qu'elle y sera proposée avec une carte SD de 2 Go.

Sonic the Hedgehog 4 Iphone

Depuis plusieurs années, la carrière de Sonic est passée par des chemins plutôt chaotiques, s'éloignant doucement de la gloire d'antan. Des jeux en 3D à la maniabilité parfois plus que discutable, des spin-off bas de gamme indignes du hérisson bleu, bref, une lente descente aux Enfers... Mais heureusement, ce Sonic the Hedgehog 4 effectue enfin le retour aux sources tant demandé par les fans. Salvateur ?


  Pour beaucoup de joueurs, les « vrais » Sonic resteront toujours les épisodes 2D de la bonne époque 8 bits/16 bits. Même si par la suite quelques opus furent de bonnes surprises, il faut bien avouer que la mascotte de Sega s'est fourvoyée bien plus qu'elle ne l'aurait dû dans des titres de seconde zone. Mais malgré son image écornée, Sonic tient toujours une grande place dans le coeur des fans, ce qui tombe plutôt bien puisque c'est aux inconditionnels que ce nouveau titre est dédié. Oui, Sonic the Hedgehog 4 reprend le gameplay, les principes, l'ambiance ou encore les décors des premiers épisodes de la série

Epic Mickey

Oubliez Disneyland et son univers enfantin bourré de gentilles créatures pleines de bonnes intentions. Place désormais à Wasteland, un monde parallèle où les personnages oubliés de l’oncle Walt veulent prendre leur revanche sur Mickey. Bienvenue dans ce conte de fées adulte et exclusif à la Wii qu’il a été possible de découvrir pad en mains pendant une heure…


A la suite d’une grosse bourde dans le laboratoire du magicien de Fantasia Yensid (Disney à l’envers), Mickey version années 30 se retrouve propulsé dans Wasteland, un univers truffé de personnages créés par Walt Disney et depuis longtemps oubliés. Résultat : la souris aux grandes oreilles doit trouver le moyen de sortir saine et sauve des 40 niveaux contenus dans l‘aventure et répartis selon des thèmes spécifiques (un univers est par exemple dédié aux pirates alors qu’un autre transporte le joueur dans la dimension de TRON, film produit par Disney et sorti en 1982). Chemin faisant, Mickey va acquérir progressivement le statut de héros populaire qui fait sa renommée aujourd’hui. Une bien belle idée qui se concrétise par l’alternance de niveaux en 2D et 3D au cours desquels il faut avoir de bons réflexes mais aussi utiliser un minimum sa tête…

Halo Reach

Halo Reach, c'est effectivement le dernier épisode de la série développé par Bungie. Après plus de huit années de bons et loyaux services, le studio américain a finalement décidé de voguer vers d'autres horizons en laissant sa licence fétiche entre les mains de Microsoft. Et assez curieusement, son dernier titre dans l'univers qu'il a passé tant de temps et d'efforts à concevoir et à faire vivre constitue en fait une préquelle à tous les autres épisodes (en dehors d'Halo Wars). Comme son nom l'indique, le soft tente de nous faire vivre la chute de la planète Reach, qui précède donc de peu les événements décrits dans Combat Evolved. De fait, on ne jouera pas non plus le rôle du Master Chief, mais celui de la nouvelle recrue (pourtant déjà très aguerrie) de l'escouade Noble, un groupe de Spartans ultra-spécialisés.
Le fait de placer l'action sur une planète condamnée qui, quoi que vous fassiez, finira par tomber, a d'ailleurs permis à Bungie de se lâcher. L'atmosphère d'Halo Reach est donc bien plus lourde et plus adulte que les autres volets de la série, qui eux, adoptaient régulièrement une tonalité assez humoristique (on pensera notamment aux interventions du sergent Johnson et aux répliques de certains Marines). La mise en scène, bien plus léchée qu'à l'accoutumée, fait souvent du joueur le témoin impuissant d'effroyables actes de destruction. Au sortir de certaines missions, on se retrouve parfois à contempler, bouche bée, le spectacle désespérant d'un monde en train de se consumer. Tous les sacrifices et les actes héroïques dépeints dans la campagne prennent donc une teinte tragique à laquelle Halo ne nous avait pas habitués. De fait, la première, la plus inattendue et la plus réussie des surprises de Reach, c'est sans aucun doute de parvenir à toucher le joueur. Avouez que cela paraît tout à fait adapté à un adieu.

Call of Duty : Black Ops

                         
  Call of Duty : Black Ops est un FPS grand spectacle sur PS3 qui nous entraîne en 1968 et nous permet de vivre, par l'intermédiaire de flash-back, les pérégrinations d'un soldat américain en pleine guerre froide. Du Vietnam à la Russie en passant par Cuba, le jeu enchaîne les situations de combat et offre une mise en scène calquée sur celle des grands films de guerre hollywoodiens. Le jeu propose également un mode multijoueur complet, un mode Zombies et de nombreux bonus à débloquer.